Le 15 octobre, je me suis rendue pendant 24h au salon Les Assises, à Monaco, qui réunissait tous les acteurs de la Cybersécurité en France. Ce fut l’occasion de rencontrer les
dirigeants de plusieurs entreprises locales du secteur, pour la plupart lyonnaises comme ceux de l’entreprise Hackuity qui a reçu le prix de l’Innovation, ou encore ceux de Stormshield.
La Cybersécurité est devenue, année après année, un enjeu pour tous, pour les institutions publiques, pour les entreprises de toutes les tailles et de tous les secteurs mais aussi et surtout pour
le grand public.
Au cours de mes rencontres et de mes échanges lors des Assises de la Cybersécurité à Monaco, que ce soit avec des responsables informatique et numérique des grandes entreprises ou des différents
experts présents, tous m’ont transmis leur inquiétude du fait que les enjeux de cybersécurité sont méconnus ou mal connus alors même que les menaces sont importantes et que les dégâts provoqués
par une attaque peuvent être considérables.
Pour lutter contre, le Gouvernement a lancé une plateforme sur
laquelle vous trouverez des actualités sur les menaces, les moyens de s’en protéger ainsi qu’une assistance en cas de besoin.
Sur le salons, j’ai eu le plaisir de recroiser Tanguy de COATPONT, directeur France et Afrique de KASPERSKY, entreprise qui crée des antivirus et Pierre-Yves JOLIVET, directeur général de
l’activité mondiale à THALES.
En marge du Salon les Assises de la Cybersécurité, j’ai eu l’honneur de rencontrer le Ministre d’Etat de la Principauté de Monaco, M. Pierre DARTOUT ainsi que le Délégué Interministériel
chargé de la Transition Numérique, M. Frédéric GENTA, avec lequel j’ai eu des échanges nourris sur la façon dont la Principauté de Monaco travaillait sur le Cybersécurité.
Enfin, j’ai participé à la table ronde sur « Les ambitions numérique et cyber de la Présidence Française de l’UE 2022 », présenté par Tariq KRIM, entrepreneur du web, et mon collègue
député Philippe LATOMBE, auteur d’un rapport paru en juin dernier intitulé « Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne ».
